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۷۸

چکیده

Cet article envisage de montrer, à partir d’un conte persan intitulé le "Chamelier et le serpent", que la narrativité ne peut pas se définir toujours comme un parcours linéaire soumis à une logique du manque et de réparation du manque. L’étude du conte en question montrera bien que l’univers du sens n’est pas dans tous les cas un univers d’ordre de programmation. Dans le cas qui nous intéresse, il s’agit d’un monde où nous avons affaire à une narrativité spirale, étant donné que tout s’organise autour d’un axe principal : l’homme et l’animal sont des ennemis éternels. Tout circule donc autour d’une question d’ordre ontologique. Le manque du début refait surface vers la fin et constitue le dénouement desastreux. Tout se passe comme si la fin retrouve le début. Cet essai aura pour résultat de préciser que le sens, au lieu d’être le résultat d’une linéarité organisée, peut s’obtenir sur la base d’une transformation spirale du sens à partir d’un retour au problème collectif et original : l’homme et lchr('39')animal sont des ennemis éternels. Ce qui donne lieu à un sens circulaire

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