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mise en abyme


۱.

Jean Echenoz: Les principales techniques narratives L’énigme de l’ironie postmoderne(مقاله علمی وزارت علوم)

کلیدواژه‌ها: Jean Echenoz postmodernisme polyphonie ironie Intertextualité mise en abyme métatextualité

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Depuis de nombreuses années, différentes recherches ont été consacrées à la narratologie et différents chercheurs se sont penchés sur la problématique des relations entre le narrateur et le lecteur. Dans notre présent travail, nous allons essayer d’éclaircir celle-ci dans l’œuvre de l’auteur contemporain, Jean Echenoz. Nous essayerons de comprendre en quoi il est différent des auteurs de son temps et pourquoi il est postmoderne; il l’est parce qu’il vit à une époque postmoderne ou bien d’autres éléments entrent en jeu pour définir son postmodernisme? Pour le connaître, nous allons tout d’abord nous intéresser à la polyphonie, l’un des éléments postmodernes et sa relation étroite avec l’ironie dans laquelle Jean Echenoz excelle. Nous allons par la suite essayer de démontrer le tissage intertextuel de ses romans et leur relation étroite avec l’ironie, ce qui est postmoderne à notre sens et caractéristique de son œuvre. À part les noms propres qui constituent des ponts entre les romans, l’intertextualité permet à l’auteur de réécrire des citations. La troisième partie de notre travail se proposera d’étudier la métatextualité ainsi que la mise en abyme. Dans la foulée, nous allons évoquer le puzzle, un autre procédé postmoderne qui accompagne la métatextualité et la mise en abyme dans son ouvrage. Dans ce cas de figure, le lecteur doit assembler les morceaux afin de faire apparaître l’unité initiale.
۲.

The Universal Pandemic of Violence: A Narratological Reading of Ian McEwan’s Black Dogs(مقاله علمی وزارت علوم)

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This paper aims to offer a critical reading of the contemporary English author Ian McEwan’s fifth novel entitled Black Dogs (1992). I postulate that literary critics have frequently read his fiction for what it is not. As such, McEwan’s thought-provoking engagement with cultural questions has more often than not gone unexamined owing to a critical blueprint that, reducing his oeuvre to the topoi of violence, or to a gallery of obnoxious characters branded as psychopaths, typecasts him as a writer of disturbing, salacious fiction. Arguing that McEwan writes to dissect and criticise contemporary cul-ture, I offer a reading of his novel as a literary intervention into a cultural debate. I argue that of cru-cial importance in McEwan’s novel is the question of the narrative structure through which the differ-ent segments of Black Dogs are recounted. Drawing on the narratological concepts and terminology in-troduced in the works of Gَerard Genette and Shlomith Rimmon-Kenan, I examine the complexities of the narrative discourses of McEwan’s novel and its interlinking thematic analogies. Based on this read-ing, I conclude that McEwan’s intervention in the ongoing cultural debates of today makes of him a se-vere critic of our time.