زهرا فدایی حیدری

Le présent article décrit l’expérience du département de la langue française de l’Université de Tabriz en Iran, en matière d'enseignement à distance dans le contexte de la pandémie mondiale de la Covid-19. Notre intérêt est de mettre en évidence de nouvelles modalités d'évaluation basées sur l'utilisation des TIC comme étant une alternative pour assurer la continuité de l’apprentissage. Cet article a pour objectif de désigner la démarche de l’évaluation en ligne de l’écrit adoptée par le département et les défis et les difficultés auxquelles il fait face en période du confinement. Dans cette étude, nous avons recours à l’approche de certains théoriciens, notamment Charles Hadji sur l’évaluation pour apprécier la démarche de l’évaluation en ligne. Les résultats de cette recherche montre que la majorité des professeurs et des étudiants ont des points de vue communs sur l’évaluation en ligne, ce qui désigne généralement leur insatisfaction à l'égard des processus d'évaluation en ligne et les difficultés qui en résultent, comme l’augmentation de la tricherie des étudiants, la faible validité et fiabilité des résultats d'évaluation, les problèmes techniques, le manque de relations et d’interaction efficaces entre les professeurs et les étudiants, etc. Nous avons également suggéré des propositions qui aideraient aux étudiants et aux professeurs à améliorer leur démarche de l’évaluation, en cette période du confinement.

Cet article, en recourant à l'approche de Philippe Hamon sur L'Ironie littéraire, Essai sur les formes de l'écriture oblique (1996), a pour objet d'étudier l’ironie dans Les Choses de Georges Perec et les procédés qu'il met en œuvre pour montrer cette ironie. Dans cet article, nous tenterons d'illustrer que pour critiquer la société moderne dans laquelle la publicité joue un rôle important, Perec profite de l'ironie. En se moquant des comportements et des pensées de ces deux personnages matérialistes qui sont incapables dans la connaissance du vrai et de la vérité, l'auteur utilise des éléments ironiques qui donnent un ton ironique au roman. Pour ce faire, il se sert des procédés comme le narrateur hétérodiégétique, la polyphonie, l'intertextualité, les figures d'opposition, d’insistance, d'analogie et de diction. Les éléments qui instaurent une distance entre l'énonciation et l'énoncé, entre le narrateur et son discours, entre le lecteur et les personnages du récit. Les procédures qui produisent un sentiment de distanciation et d'absurdité, essentiel dans l'ironie du XXe siècle.